C’est à l’encre des eaux du Vieux-Port de Bastia que s’écrit la trajectoire d’Armand Luciani.
La raison peut-être, de son enracinement dans le voyage. Sa photographie peut révéler l’âpre
douceur des pierres sèches de Casta et souligner la pudeur éclatante des buildings de Chicago.
Révélé dans la cadre d’un concours lors de Paris Photo, il cultive le contrepied.
Parallèlement à diverses expositions : « Phaseshift » en 2016 qui relate son voyage aux Etats-
Unis, ou « Immurtali » en 2018, travail émotionnel d’immersion dans des lieux étranges et
méconnus du grand public à Bastia, ou la « Leçon de Ténèbres » en 2019, sa vision âpre de la
Semaine Sainte, dans un petit village de l’île, Armand Luciani répond aussi à des commandes
avec : « Sguardi » (2018-2019), commande du musée de Bastia sur le sujet de l’immigration, ou
encore « Terra d’Omi » (2019), exposée à compter d’octobre 2019 et commandée par le Musée
de la Corse ainsi que « Bona Factio », une commande de la ville de Bonifacio.
Armand n’hésite pas à se lancer sur des terrains sur lesquels on ne l’attend pas forcément : c’est
ainsi qu’il crée avec Jean-Baptiste Bartoli la pièce de danse contemporaine « Immurtali » (15
février 2020, théâtre de Bastia) inspirée de l’exposition éponyme, puis avec Laurent Simonpoli
et Frédéric Antonpietri, «Sintinelli» (1er octobre 2020, théâtre de Bastia) et enfin la scénographie
de « A Valella », le concert de Michè Dominici (2021).
Son esprit d’aventure et sa curiosité artistique le pousseront sur nos rivages, à la poursuite de
l’ensemble A Filetta, avec lequel il a déjà collaboré. Ici, son regard curieux, mais aussi sa bienveillance
et son sens de l’humour feront mouche, et sauront toucher des organisateurs qui appréciaient
déjà qu’il ait osé franchir le Désert des Agriate pour venir les trouver !
Quelle aventure !
La raison peut-être, de son enracinement dans le voyage. Sa photographie peut révéler l’âpre
douceur des pierres sèches de Casta et souligner la pudeur éclatante des buildings de Chicago.
Révélé dans la cadre d’un concours lors de Paris Photo, il cultive le contrepied.
Parallèlement à diverses expositions : « Phaseshift » en 2016 qui relate son voyage aux Etats-
Unis, ou « Immurtali » en 2018, travail émotionnel d’immersion dans des lieux étranges et
méconnus du grand public à Bastia, ou la « Leçon de Ténèbres » en 2019, sa vision âpre de la
Semaine Sainte, dans un petit village de l’île, Armand Luciani répond aussi à des commandes
avec : « Sguardi » (2018-2019), commande du musée de Bastia sur le sujet de l’immigration, ou
encore « Terra d’Omi » (2019), exposée à compter d’octobre 2019 et commandée par le Musée
de la Corse ainsi que « Bona Factio », une commande de la ville de Bonifacio.
Armand n’hésite pas à se lancer sur des terrains sur lesquels on ne l’attend pas forcément : c’est
ainsi qu’il crée avec Jean-Baptiste Bartoli la pièce de danse contemporaine « Immurtali » (15
février 2020, théâtre de Bastia) inspirée de l’exposition éponyme, puis avec Laurent Simonpoli
et Frédéric Antonpietri, «Sintinelli» (1er octobre 2020, théâtre de Bastia) et enfin la scénographie
de « A Valella », le concert de Michè Dominici (2021).
Son esprit d’aventure et sa curiosité artistique le pousseront sur nos rivages, à la poursuite de
l’ensemble A Filetta, avec lequel il a déjà collaboré. Ici, son regard curieux, mais aussi sa bienveillance
et son sens de l’humour feront mouche, et sauront toucher des organisateurs qui appréciaient
déjà qu’il ait osé franchir le Désert des Agriate pour venir les trouver !
Quelle aventure !